Un vétérinaire éthique change une vie d’éleveuse de Cavaliers King Charles

Avant la rencontre : solitude et incompréhension

Avant cela, j’ai connu l’incompréhension. On m’a souvent ramenée à une position de dépendance, même lorsque les situations exigeaient au contraire de la réactivité immédiate sur place.

Dans bien des cas, il m’aurait suffi d’avoir à disposition le matériel adapté et les médicaments essentiels à l’élevage pour agir calmement, sans stress inutile pour mes chiennes, mes chiots et les autres animaux présents.

Mais cela m’a rarement été permis. L’accompagnement réel faisait défaut — non par malveillance sans doute, mais parce qu’il n’y avait pas de place, dans le système, pour une éleveuse compétente, formée par l’expérience et désireuse de bien faire.

Un changement décisif : la confiance retrouvée

Ce n’était pas un refus de soin. C’était un refus de confiance.

Et puis il y a eu lui. Un vétérinaire qui m’a vue. Qui a écouté mes mots, mais aussi mes silences. Qui a compris ce que représente une vie d’éleveuse engagée, jour et nuit, auprès de mes chiots Cavalier King Charles.

Il m’a parlé avec respect, il m’a enseignée sans crainte. Il m’a permis d’évoluer, de progresser, de soigner mieux — sans blesser, sans brusquer, sans attendre.

Une collaboration au service du bien-être animal

Grâce à lui, une lumière est entrée dans ma pratique. Plus de solitude. Plus de murs. Une collaboration réelle, au service du bien-être animal, de la santé de mes Cavaliers King Charles et des familles qui les attendent avec amour.

Il n’y aura pas de retour en arrière. Il y a un avant — et désormais un après.